Il faut avouer qu'une piscine éclairée le soir donne du cachet à votre extérieur. Mais attention : il ne s'agit pas de placer n'importe quelles ampoules protégées par n'importe quels globes et d'envelopper les raccords dans des protèges-fils. Le procédé et son installation sont beaucoup plus complexes si l'on veut assurer la sécurité des nageurs.
Les différents types de luminaires pour piscine
Pour une installation facile, il existe des luminaires à poser directement aux abords de la piscine ou directement sur l'eau (ils flottent dans ce cas). Ils fonctionnent généralement avec des ampoules LED à basse consommation et bénéficient d'une autonomie allant jusqu'à 20 h. Concernant les luminaires (ou spots) encastrés aussi bien en profondeur (donc sous l'eau) que sur les bords, trois sources d'alimentation sont disponibles : électricité, énergie solaire, fibre optique. Pour le luminaire proprement dit, vous avez le choix entre des lampes LED, des lampes incandescentes, des lampes halogènes et les projecteurs (halogène, solaire, LED).
Le choix des luminaires
Il faut se référer à la section 702 de la norme NF C 15-100 publiée par l'Union technique de l'électricité (U.T.E). Cette norme définit trois catégories de volumes. L'intérieur de la piscine et le pédiluve forment le volume 0. La zone périphérique d'une piscine encastrée entrant dans un périmètre de 2 mètres de long et 2,5 mètres de haut forme le volume 1. Ce dernier englobe, dans le cas d'une piscine au sol, une profondeur de 2,5 mètres sous la piscine. Enfin, à partir des limites du volume 1 et dans un rayon de 1,5 mètres, vous avez l'espace dédié au volume 2. Pour acheter un luminaire de piscine, n'oubliez pas de préciser les volumes auxquels ils sont destinés.
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