Le parquet est probablement le revêtement de sol le plus répandu dans les foyers. Les gens ont l'habitude de faire appel à un spécialiste pour la pose, mais le faire soi-même est une option à ne pas écarter. Il suffit juste de connaître les techniques.
La pose de parquet cloué pour la rénovation
Un parquet peut être posé de 3 manières différentes, dont la première la pose de parquet cloué. Elle est plus adaptée pour une pose sur lambourdes clouées sur solives au rez-de-chaussée et sur solive à l'étage. La pose de parquet cloué est idéale dans le cadre d'un remplacement en utilisant un parquet massif d'une épaisseur d'au moins 20mm.
La pose de parquet collé, la plus répandue
Ensuite, il y a la pose de parquet collé, plus adapté sur un plancher chauffant afin de favoriser la conductivité thermique. C'est d'ailleurs à cause du chauffage au sol que la pose de parquet collé est la plus utilisée. Pour avoir un meilleur résultat et ne pas abimer les parquets, il est indispensable de choisir la bonne colle et de respecter la consommation au m2. La pose de parquet collé concerne également les parquets massifs, mais dont l'épaisseur se situe entre 10 à 15mm. Au-delà, il vaut mieux opter pour une pose clouée.
La pose de parquet flottant, pour un sol stratifié
Enfin, la pose de parquet flottant est l'unique méthode à adopter pour avoir un sol stratifié. Cette technique permet d'éviter de coller le parquet sur lambourdes, contrairement au parquet massif. Ce qui fait que la méthode concerne uniquement les revêtements de sol stratifiés et les parquets contrecollés. Il est obligatoire de mettre une sous-couche spéciale avant d'en faire la pose. 3 types de support peuvent être utilisés pour un parquet flottant: du béton surfacé ou chape, un ancien revêtement ou un plancher ou faux plancher. Il est également possible d'utiliser d'autres supports comme le carrelage. La pose de parquet flottante est facilitée grâce à un système d'assemblage clic.
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